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L’existence d’une révolution industrielle en France, conforme au modèle anglais ( cf. encadré, p. 20 ), a longtemps relevé de l’évidence. L’introduction du machinisme dans la conception industirelle textile, par le biais de la filature* du coton, l’essai du coke* dans les élévés fourneaux*, l’élaboration de machines à vapeur, pour ne prendre que ces trois critères, donnaient l’assurance que, autour de 1780, les prémices de cette révolution étaient bien posés. d’un autre côté, des formes de capitalisme industriel, dont la compagnie minière d’Anzin ( Nord ) était un symbole [1], s’esquissaient dans le royaume. Le taux de croissance industriel – entre 1, 5 % et 2 % chaque année dans la 2nd moitié du XVIIIe siècle – rapprochait la France de la angleterre qui, partie plus vite, n’en faisait plus autant.
Au 19e siècle, l’europe et les États-Unis connaissent de grandes transformations économiques et sociales. Stimulés par les avancées techniques, ils s’industrialisent. C’est à cette époque que les chemins de fer ( et les premières locomotives fumantes ) apparaissent, au même titre que voit le jour le télégraphe, le appel téléphonique, et les journaux bon marché qui composent circuler plus vite les idées et les nouvelles. La croissance spectaculaire des villes fait de cet âge industriel une époque prodigieuse. La première révolution industrielle est généralement présentée comme le produit technique accompli à la fin du 18e s. et au début du 19e s.. Ainsi manifestation et l’amélioration de l’outil à vapeur professionnelle en 1769, inventée par la langue anglaise James Watt permet d’actionner d’autres machines et change de façon radicale les solutions de fabrication. Cette période marque irruption de la mécanisation qui érigera la fabrication industirelle en fondements de la structure économe de la société, se substituant ainsi à l’agriculture. L’extraction massive du charbon couplée à cette nouvelle machine à vapeur d’eau permet d’ajouter à disposition une énergie nouvelle pour donner une impulsion aux réseaux ferroviaires et aux échanges économiques.
La transformation numérique signifie tout d’abord d’utiliser dans nos propres sites de génération les meilleures pratiques du marché. Par exemple, le transmission sans interruption des données de l’ingénierie puis vers l’industrialisation et enfin vers la fabrication. Cela réduit, notamment, des coûteuses et longues phases de réinjection de données. Cette transformation permet de plus de réduire le time to market* de nos clients, à qui nous suggérons des solutions d’automatismes et des logiciels. C’est une demande forte du marché et nous devons y répondre. pour terminer, dans la manière de faire marcher nos centres industriels, la transformation numérique doit nous donner plus de souplesse de génération, une plus grande capacité à prendre soin des produits de plus en plus variés, avec une économie de matières et d’énergie.
Le déclin industriel français ne date pas d’hier. Les années s’ouvrent sur une perte brutale de la production manufacturière : -12, 5% entre le premier trimestre et le 4ème trimestre 93. L’économie française comme celles des autres pays avancés tombe en récession. Récession amplifiée, en France, par le durcissement de la politique monétaire : les taux d’utilité flambent et les sociétés comme les ménages doivent se désendetter en toute urgence. Cela met à terre la construction, un débloqué majeur de la fabrication industirelle, ce qui accentue sa chute.
Car dans le but de comprendre le désastre industriel français, il est recommandé de revenir sur les erreurs stratégiques des pouvoirs publics français et de nos grands patrons, eux-mêmes issus du moule techno-politique les grands corps. Nous devons à Serge Tchuruk dans les années 90, le patron de ce qui était alors Alcatel ( depuis démantelé en de multiples entités ), d’avoir théorisé chez nous le concept d’industrie sans centres industriels, sans actifs, «asset-light» : une hérésie stratégique vite abandonnée par les Américains mais qui a perduré en France jusque dans les années 2000. Or notre monde économe actuel, loin d’avoir vu la disparition de la vieille industrie à la place d’une économie purement tertiaire et de prestation, est beaucoup plus complexe. En réalité nos économies sont devenues hypra industrielles, avec le software ou les services à valeur ajoutée qui sont venus transformer l’usine d’époque. Les smart factories embarquent des compétences en informatique, robotique et automatisation en brouillant la frontière avec l’univers de la technologie et des GAFA. Ainsi, d’une certaine manière, l’industrie n’existe peut-être plus en tant que secteur autonome mais paradoxalement elle est omniprésente : même les collaborateurs des nouvelles nouveautés doivent déployer des plateformes industrielles et logistiques colossales, que ce soit Amazon ou Google avec ses data centers.
Latécoére inaugurait en mai dernier sa toute nouvelle usine 4. 0 à Montredon, régionnalement toulousaine, une structure predestinée à satisfaire davantage sa clientèle en réduisant soins de génération des pièces conféctionnées. Au programme : des solutions RFID ( Radio Identification ), un suivi en temps réel des stocks, des opérations digitalisées à 100% ( zéro papier ), une autonomie de 18h de ses machines et surtout un déchargement – chargement – contrôle des pièces robotisé. Cette smart factory représente avec ses 6000m2 37 millions d’euros d’investissement et est dorénavant le effigie de la modernité de Latécoère. Totalement digitalisée et connectée, la société vante même le jumeau numérique de son nouveau centre de fabrication, un outil permettant la mise en situation continue des flux de production et des problèmes sur l’optimisation de l’atelier la traçabilité des pièces ou bien encore la planification de la sécurité.
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