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Le extension pérenne doit être à la fois frugalement robuste, socialement équitable et écologiquement endurable. Le social doit être un but, l’économie une méthode et l’environnement une condition. Le expansion est « pérenne » s’il à été réalisé de façon à en garantir la durabilité du profit pour les générations futures. Les préservation des capital naturelles ne sont pas infinies. La bétail, la flore, l’eau, l’air et les planchers, indispensables à notre gloire, sont en voie de dommage. Ce constat de besoin et de finitude des recyclage se traduit par recours de protéger ces grands équilibres écologiques pour préserver nos sociétés et la vie sur Terre. Parmi les principaux problématiques environnementaux, les préoccupations suivantes sont identifiées :Elimination, élimination écologique, tri et recyclage, les trois premières partie d’une gestion pérenne des matériau perdu sont aujourd’hui env admises et maîtrisées. La quatrième, et la plus vertueuse, celle du non-déchet, implique une modification radicale de nos modes de rédaction, de distribution et de consommation. Jusqu’où aller pour allier préservation des actif et du et nécessaire satisfaction des besoins- ?La tendance dite progressiste sert à à affronter le fondement honorable des sociétés traditionnelles parfois millénaires sous prétexte de liberté. dès lors ce fondement à présent pronom relatif, il est substitué par un contrat individuel ou européen simplement consenti et cuirassé par la justice et poulague. Mais quid de la liberté des personnes, entreprises, collectivités et foule ne pouvant subir en indépendance et pour quoi l’unique lien proposé avec la entreprise est un dossier d’usure ? Ai-je le appréciation d’épargner dans une banque qui ne me demanderait que des frais bancaires sans charger mes économies à intérêt ? Puis-je me installer, étudier, travailler sans générer des avantages ? Le base d’une morale à notre service serait l’interdiction pour l’obligation de l’usure en vue d’une économie qui nous permette de s’avérer être en symétrie avec la nature dont nous dépendons. au risque de s’avérer être un obstruction à un « accord pérenne », les Nations Unies ont pour obligation de tirer au clair leurs révélations car pour les fixé d’une économie basée sur le prêt à intérêt, « extension pérenne » se traduit par « croissance pérenne » sous prétexte que l’illustre le laïus de Jacques Attali, conseillé d’Etat : «… La fonction de l’homme dans le monde est de générer des richesses… Transformer la Nature ça plait, la Nature n’est pas bonne arrive. Plus encore, la Nature est l’ennemie de l’Homme. quand on admet que la richesse ça plait et que la pénurie c’est pas bien, on déteste les forêts et on adore les jardins, on déteste la campagne et on adore la commune, on apprécie ce que l’Homme fait et pas ce que la nature lui donne. Et la deuxième chose qui est très poche dans cette conception est le rapport à la vie qui modifie grandement : si on admet que le désordre est la richesse de ce fait il faut qu’à tout prix que tout soit réitératif puisqu’il ne faut pas gracier de richesse. dans le cas où, ainsi, on admet que l’abondance n’est pas une anomalie de fonctionnement cependant qu’il faut l’assumer ainsi la séance devient un allié et non plus un ennemi. Le temps n’est plus cyclique il avance et l’Homme s’inscrit dans l’histoire du temps et utilise le temps comme une ressources. Dans le premier cas la séance surtout ne doit rien servir parce qu’il ne faut pas que le temps soit utile, en attentif pas d’intérêt. Alors que dans le second cas la séance a de la valeur puisqu’il est le rayure sur lequel s’inscrit la réparation de l’univers imparfait que Dieu nous a laissé et à ce moment l’intérêt à un sens »[6]. dans le cas où la éthique prescrite par les conséquentes fabrique universelles était incontestablement débattue, il serait probable qu’un tel speech soit minoritaire et que la sauvegarde de l’équilibre d’une nature que nous aimons et dont nous dépendons fasse l’unanimité. Cela d’autant plus que l’usure est déporté par la plupart des civilisations et interdite par les credo. On peut citer Aristote : ‘ l’utilité est de l’argent issu d’argent, et cela est de toutes les acquisitions ceux qui est la plus inverse à la nature ‘ [7], ou bien l’interdiction de l’usure dans les abrupts civils de l’Ancien Régime, par les foi asiatiques et les contenus fondateurs des trois monothéismes.Le concept de extension durable ( DD ) a vu le jour dès le tout début des années 1970. Quelques individus, politiques et rationnels, inquiètes de dysfonctionnements qu’elles avaient l’occasion de observer ( variations météorologiques, baisse des capital en forces fossiles, inégalités sociales grandissantes, etc. ), avaient alors attiré l’attention sur recours d’intégrer franchise sociale et prudence écologique dans les types de développement.Des universitaires sous prétexte que luc Friot ainsi que les chercheurs sympathisants à l’Institut Européen du Salariat ont décrit le rôle libérateur du force de placement par distribution, à ce titre sans avantages, des retraites et de la forme. Rapporté aux 1999 surface de notre production annuelle ( PIB ) cela constitue 550 mds, contre 650 pour les salaires et 700 pour les traders qui gardent 300 mds sous forme d’intérêts pour n’en réinvestir que 400[9]. Etendre le système de quête à l’investissement serait d’un côté plus que possible, mais libérerait une partie exponentielle de l’économie de l’usure. L’entreprise libérée de l’investisseur pourrait s’attarder un but autre que la production optimale d’intérêts notamment la durabilité ou l’utilité des services fait. De plus, 300 mds annexes correspondant aux précédents avantages des traders pourraient être disponibles pour ces objectifs.Fondamentalement, le expansion durable vise à augmenter le bien-être humain en tenant compte des contrariétés environnementales et des bien, afin de ne pas incarner une diminution de ce jouissance dans le futur, particulièrement de par la invalidité environnementale des sociétés mais pas uniquement. Ainsi les arguments d’inégalités et de justice sont très présentes dans cette notion. Comme l’affirme le 1er fonctionnement de la Déclaration de Rio : » Les êtres humains sont au cœur du développement durable «. Le respect de l’environnement est de ce fait instrumental pour le extension pérenne, et non une valeur arrive.