Lire la suite : Le monde du Web

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L’arrivée d’Internet, il y a quelques temps, a généré un avant et un après dans les différentes civilisations, principalement parce qu’elle a non fermé la voie à un nouveau moyen de communication entre des personnes qui n’avaient pas à coup sûr besoin d’être dans la même pièce. Par exemple, avec des e-mails, des pages Web ou des cercles d’entraides. L’interaction entre les personnes a commencé à gagner, petit à petit, de plus en plus de force, éliminant – entre autres choses – différents frontières culturelles ou linguistiques. Une véritable bataille pour la capacité qui a motivé de nombreuses avancées technologiques. Parmi eux, les États-Unis ont créé l’ Advanced Research Projects Agency ( ARPA ) qui, une décennie après, a posé les piliers de ce que l’on appellera Internet, puisque son réseau ARPANET permettait l’échange de références entre institutions. Et comment pourrait-il en être autrement, dans le scénario précédent, des réseaux sociaux ont également émergé, dont la qualité réside fondamentalement dans la possibilité qu’ils offrent aux personnes de communiquer avec les autres, de façon complètement instantanée, à travers des espaces virtuels, peu importe où ils se trouvent sur la planète.

quotidiennement, nos agissemements sont influencés par les normes sociales qui nous entourent. En agissant selon les normes sociales, l’individu agit aux normes avec les comportements les plus consensuels et ainsi reçoit de l’approbation de son groupe. Qu’est-ce qui influence le comportement ? Nous distinguons trois facteurs qui influencent le comportement des personnes : Les talents inhérentes. Les compétences et possibilités assimilées sur le long terme. L’environnement dans lequel se trouve la personne. On peut ainsi dire que la société lutte contre la nature de l’homme n14, car elle inhibe sans cesse ses instincts. de plus, la société fait connaître à l’homme qu’il faut effectuer des règles, ce qui fait que toute spontanéité y est brimée. La société est par conséquent un phénomène culturel qui transforme la nature de l’homme. Quels sont les process de l’influence sociale ? La facilitation sociale, la comparaison sociale, la régulation, le conformisme, la requête à l’autorité et les process d’influence majoritaire et minoritaire sont des formes d’influence. Les cinq premiers sont des pressions exercées de la part de la société en direction du groupe et l’individu. On peut ainsi dire que la société bataille contre la nature de l’homme n14, car elle inhibe sans cesse ses instincts. de plus, la société fait connaître à l’homme à suivre des règles, ce qui fait que toute spontanéité y est brimée. La société est ainsi un phénomène culturel qui transforme la nature de l’homme. Quels sont les processus de l’influence sociale ? La facilitation sociale, la comparaison sociale, la normalisation, le conformisme, la soumission à l’autorité et les processus d’influence majoritaire et minoritaire sont des formes d’influence. Les cinq premiers sont des pressions exercées de la part de la compagnie en direction du groupe et l’individu.

En pleine campagne présidentielle aux USA, il part à la « trouvée des le public » en selon un groupe de 600 électeurs du comté d’Erié dans l’Ohio. Durant cette enquête, il prouve que le vote n’est pas seulement un choix individuel mais qu’il existe des variables liées au… réseau social de l’individu. On découvre que les réseaux amicaux et les milieux familiaux sont globalement homogènes dans leurs choix vues. Pour la première fois sont évoqués les opinion précurseurs dans une théorie de l’influence interpersonnelle. Leurs modalités seraient une forte sensibilisation aux réseaux et une possibilité de reformulation des enjeux vues dans les négoces quotidiens. Ils ont donc un rôle d’intermédiaire, de facilitateur, de relais. Un pas est dès lors franchi dans l’étude des médias : la visibilité n’est pas unidirectionnelle et directe vers un récepteur passif, elle est à deux étages et se déroule en deux temps, via des relais d’information ( the two-step flow of communication ). Puis dans Personal Influence proposé en 1955, il en ressortira que les relations interpersonnelles sont supérieures aux médias dans les actes de décision. En somme, les théories de la seringue hypodermique et de médias ultra-puissants deviennent obsolètes. Les effets des réseaux sont indirects et limités par les capacités d’évaluation des individus et leur réseau social.

l’avantage pour les influenceurs numériques comme outil de communication et de vente pour les marques s’accroît de façon importante au cours des années passées. Il reste toutefois beaucoup à explorer pour mieux comprendre comment les influenceurs peuvent réaliser un lien de confiance avec leurs abonnés et ainsi façonner leurs perceptions et leurs attitudes. Cette étude touche donc à évaluer la perception des abonnés d’Instagram afin de appréhender leur relation avec les influenceurs ainsi que le process d’influence qui en découle. ainsi, la théorie des emplois et des gratifications et le standard « Stimulus – Organisme – Réponse » ont été combinés afin d’étudier le phénomène sous un angle plus analytique. En effet, ce besoin aide à la littérature scientifique en proposant un cadre complet qui démontre comment les actions des influenceurs aident à combler certains besoins des consommateurs et influencent ainsi l’intention d’achat des produits promotionnels et la loyauté envers cet influenceur. Les serp d’un échantillon de 159 répondants à un questionnaire administré en ligne démontrent plusieurs effets de médiation entre les variables. Pour l’intention d’achat des produits promotionnels, les relations sociales, d’information et l’identification personnelle médient totalement sa relation avec le design visuel du compte de l’influenceur ainsi que la qualité informationnelle des produits promotionnels. la découverte de ces relations permettra aux professionnels du marketing de mieux comprendre le process du consommateur pour adopter les recommandations des influenceurs ainsi que les approches à preférer pour enclencher cette action.

Si vous utilisez les réseaux sociaux uniquement pour pousser de la publicité, de la promotion, des financements d’articles ou autres vous ne retirerez pas une grande efficacité des social medias. Cela semble logique par rapport au idée de base : tchater avec sa communauté. Des publications centrées uniquement sur de la pub / promo vont désintéresser votre audience et vous éloigner d’elle. Cela n’empêche pas de mettre en avant ses produits et ses aptitudes mais dans un situation différent de la publicité, avec un angle indicatif, de partage. Pour faire de la publicité il existe des espaces dédiés comme Facebook ads ou Instagram ads. Ils aident à mettre en valeur ses produits et son savoir faire avec des annonces personnalisées et sponsorisées. Si vous verifiez Instagram et Linkedin vous serez dans deux mondes différents. En effet Instagram a une audience large, il est plutôt orienté B2C, il est basé sur l’image ( bien qu’il ne faille pas occulter le contenu ), alors que Linkedin a du trafic plus ciblée “professionnels”, il est orienté b2b et nécessite des contenus plus textuels pour communiquer. Certains réseaux peuvent d’avoir des fonctions plutôt passives ou ciblées comme par exemple Twitter, souvent utilisé pour de l’information, Linkedin très orienté b2b, Instagram sur lequel on va souvent suivre des marques, Pinterest pour rechercher des graphiques ou de l’inspiration, Youtube pour des films et de la vidéo, etc.

1. 7 milliard de personnes emploient au moins un réseau social dans le monde, dont 31 millions en France. Pour les entreprises, les réseaux sociaux sont une superbe occasion pour se rendre visible du bout de la rue jusqu’au bout du monde. Ils permettent de gagner de nouveaux clients, de fidéliser, de communiquer autrement avec sa communauté ou tout simplement de gagner des données. Bien utilisé, le retour sur investissement d’un réseau social est exponentiel ; d’autant que leurs campagnes publicitaires ne coûtent pas forcément très cher. Mal utilisés, par contre, l’effet peut être quasi nul, voire même ou ultra en cas de bad buzz, ruinant la notoriété de toutes entreprises en moins de 10 secondes. En bref, les social medias servent plus à raconter son entreprise qu’à faire connaitre en direct ; à traduire ses valeurs, sa vision… Le story telling, le suspense, l’effet teaser…Ces modes de communication aident à créer une communauté de consommateurs adeptes de vos valeurs, de déterminer les ambassadeurs les plus aptes à les donner, mais aussi à communiquer autrement avec votre clientèle, non pas en format indicatif et descendant, mais en format communautaire, basé sur l’échange et la prise en compte immédiate des suggestions et critiques pour pouvoir améliorer votre offre. Les social medias servent à ça, car ils sont construits en ce sens ; sur un exemplaire de communication communautaire.

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